《门》后面的那段法语独白
Elle parlait des traces et disait : Je suis mes traces et elles m’attendent. J’aime encore un être. Traces sur ce recluse de toutes les fontaines, fleurs encloses sur la nature si secrète. La voila qui pense à ce jardin endormi, plongé dans l’aube de tout cru encore, avant que le jour ne tombe les couleurs et ne le change en carte postale. Tant de choses en ce monde que l’on croit avoir rencontré et que l’on ne fait en réalité que découvrir, telle une vision non altérée pareille à la gaze des rideaux. Une porte était la qui attendait d'être poussée. Elle ne répondait pas à mon sourire, sourd rire. Rire en demeure, sous moindre ou s'étend de sable à la clé qui est pourtant la unique clé de mon amour et la quintessence de ma présence, infinie dans son amenuisement, plus dense et plus intense que tout ce qui se déploie, s'épanche ou s'épelle. Don retenu, plus d'ame offerte, comme un regard qui dans son silence dirait tout. La trace rencontra le sourire. Compassion .Non pas cette pitié ou cette commisération condescendante sous tendue qui calcule conscience confuse de sa propre supériorité. mais, littéralement, le fait de patir ou sentir avec, d'éprouver corps et ame le plus intime de son être, ce que ressent un autre que soit. Le sourire épousa la trace. Ils s'embrassèrent et s'embrasèrent.
翻译(机翻):
她谈到踪迹时说:我跟随我的踪迹,它们在等我。我仍然爱着一个存在。在这个隐居的所有喷泉上的痕迹,花朵封闭在如此秘密的大自然中。在这里,她想到了这个沉睡的花园,陷入了一切都还很原始的黎明之中,在白天落下颜色并把它变成一张明信片之前。这个世界上有许多你认为你已经遇到的东西,而你实际上只是在发现,就像窗帘的纱布一样的未被改变的视野。一扇门在那里等着被推开。它没有回应我的微笑,闷声大笑。欢声笑语,在少许或绵延的沙地上,在那把钥匙下,那是我的爱的唯一钥匙,也是我存在的精髓,在其稀薄中无限,比所有展开的、溢出的或咒语的东西更密集和更强烈。隐忍的礼物,更多的是提供的灵魂,就像一个眼神,在它的沉默中会说明一切。痕迹遇到了笑容。怜悯,不是这种怜悯,也不是这种在紧张状态下的居高临下的同情,它计算着对自身优越性的困惑意识,而是从字面上看,是忍耐或感受的事实,是在一个人最亲密的部分体验身体和灵魂,另一个人的感受。笑容与痕迹结婚。他们亲吻并拥抱了对方。
不愧是B哥。